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2.2.1.2 Architecture logique

Afin de maintenir dans des limites raisonnables la localisation de tout problème dans un réseau dont l'ambition était initialement de connecter quelques 3 000 ordinateurs, nous avons opté pour une architecture de réseaux routés. Nous limitions ainsi la portée des collisions, des diffusions, ou de tout autre type de problème, plaies classiques des réseaux partagés et surpeuplés.

L'architecture adoptée part de notre raccordement à l'Internet, qui se fait par l'un de nos réseaux capillaires : celui dit des « machines publiques » où se trouvent tous nos serveurs « centraux ». Il constitue en quelque sorte, vis à vis du reste de notre réseau une « zone franche » par laquelle passe tout trafic externe. Ce réseau est, par son autre extrémité, raccordé à l'épine dorsale d'où il atteint tous les réseaux capillaires routés.


  
Figure: Architecture logique
\includegraphics[width=15cm]{../Images/g2-dan-lb.epsi}

Cette simplicité d'architecture logique nous a permis de mettre en place un schéma de routage simple et fiable : un routage statique. Elle nous a aussi permis d'éviter l'engorgement de notre épine dorsale : sept ans après son installation, et malgré une croissance soutenue des raccordements à notre réseau et de son utilisation, elle est encore dans le mode de fonctionnement d'un Ethernet « idéal ».

En parallèle avec notre connectivité à l'Internet fournie jusqu'en septembre 1998 par Renater, et désormais par Oléane sur une infrastructure physique WorldCom, nous maintenons un accès X25 par Transpac, et un accès par le réseau téléphonique. Ces deux autres accès nous placent comme « fournisseur d'accès Internet » pour l'ensemble de nos utilisateurs. Ce service est utilisé par quelques 300 de nos utilisateurs pour « télé-travailler ».


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