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ISSN 2271-3905
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Merci Laurent pour cette synthèse des fondamentaux et du (des) DNS, des organismes qui en assurent la cohérence et qui en "vivent".
J’y ai découvert le rôle joué par P.Mockapetris et ai été jeter un œil sur les RFC 1034 et 1035 toutes 2 datées de novembre 1987.
La référence à Open-Root proposé par Louis Pouzin, de même que le fait que Google ait son propre annuaire DNS, est opportune me semble-t-il, pour faire comprendre comment le "dark-web" coexiste avec l’Internet "classique" (aussi l’isolation des Chinois).
Peut-être qu’un début de réflexion sur les problèmes spécifiquement posés par l’IoT et les perspectives d’une approche "RINA" seraient une ouverture vers une "liberté de penser" numérique européenne ?
Oui, Jean-Jacques, ces questions en apparence techniques ne sont pas sans versants politiques. Les États-Unis jouissent dans l’Internet de privilèges qui ne sont pas sans évoquer ceux que leur confère le rôle de monnaie internationale du dollar : ce sont les autres qui paient leurs dettes.
Plusieurs articles de mon site abordent ces questions, par exemple celui-ci, consacré au problème des communs, à partir duquel on peut trouver les suivants.