Gestion des contrats de droit d’usage de logiciels
Bonsoir Laurent,
Article fort intéressant mais qui me laisse un peu perplexe, car je ne comprends pas trop cette problématique du nombre de copies et donc tous les débats qui en résultent autour des machines virtuelles, des sites miroirs, backup et tutti quanti. La seule unité de compte valide me semble être le nombre d’utilisateurs bénéficiant de l’usage du logiciel. Cela peut poser d’autres problèmes de comptage mais me semble plus proche d’une réalité économique. Le phénomène de comptage des copies est apparu avec l’apparition du poste de travail individuel (une copie = un utilisateur). La montée en puissance des machines genre PC (je rappelle, au passage, que cet acronyme est pour Personal Computer) et leur mise en réseau avec tout ce que cela implique en partage de ressources rend totalement absurde cette vision. Il faut en revenir à un mode de comptage fondé sur la population d’individus bénéficiant des fonctionnalités du logiciel.
Merci de ta contribution, Jean. Tu as tout à fait raison, mais les éditeurs ne sont pas de cet avis, parce que ce n’est pas leur intérêt. En fait, plus c’est incompréhensible, plus ils sont dans une situation d’asymétrie d’information qui assure la paralysie du client, incapable de décider quoi faire.
Cela dit, mesurer au fil de l’eau les utilisateurs actifs d’une façon acceptable par toutes les parties ne serait pas simple. J’ai le souvenir de licences partagées, il fallait que les utilisateurs se déconnectent pour laisser la place aux autres quand ils allaient à la machine à café, sans garantie de retrouver un jeton à leur retour...
Bonjour Laurent,
Je réagis en complément des commentaires notamment ceux qui citent les quelques acteurs SAM indépendants de la place.
Nous sommes peu et ce serait dommage de ne pas citer en complément "Mersy". C’est est une activité qui se construit depuis plus de 3 ans. Sa particularité, au-delà de la gestion des audits de conformité est de travailler étroitement avec les avocats IT (pour la défense des entreprises). C’est une méthode de travail qui change des approches conseils et process pour se focaliser plus sur les enjeux de négociations/financiers.
Bien cordialement,
Stéphane